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Construire une carrière dans le domaine financier chez Edward Jones
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Envisagez-vous une carrière de conseiller en investissement chez Edward Jones? Certains de nos conseillers en investissement parlent de leur emploi et du cheminement de carrière qui leur a permis de bâtir une pratique prospère.
Jasmine Butler n’était pas à la recherche d’une nouvelle carrière lorsqu’Edward Jones a été évoqué lors d’un événement de réseautage. En tant que responsable de district des ventes externe travaillant dans le secteur de la gestion des ressources humaines, Jasmine était confiante en son parcours professionnel.
« J’étais heureuse et je n’étais pas prête à passer à autre chose », déclare Jasmine. Neuf mois plus tard, ce sentiment a changé.
Le sentiment d’autonomie qu’elle ressentait dans le cadre de ses fonctions de vente externe avait diminué. La transition vers un poste de direction ne l’attirait pas vraiment et elle souhaitait fermement rester en contact avec les clients.
« Mon patron me disait que je passais trop de temps avec mes clients », dit Jasmine. « Mais je ne voulais pas leur donner un numéro 1-800. Je voulais un poste qui me permette d’avoir la maîtrise sur l’expérience de mes clients. »
Il a fallu que Jasmine rencontre quelqu’un qui occupait déjà un poste de conseiller en investissement pour qu’elle puisse se voir chez Edward Jones. « Pour moi, il était essentiel de comprendre ce que le poste implique », déclare Jasmine. « Toutes mes idées reçues sur ce que je pensais être le travail d’un conseiller en investissement ont volé en éclats. »
Jasmine a rejoint le cabinet il y a huit ans. Depuis, elle affirme que l’éducation est la clé de la croissance de ses activités.
« Je suis arrivée dans ce poste avec une expérience de la vente, mais le poste couvre bien plus que cela. L’éducation a donc été la clé de mon succès. »
« La culture d’Edward Jones consiste à se faire grandir les uns les autres. J’ai l’intention de donner de mon temps comme mes mentors l’ont fait pour moi. »
-− Jasmine Butler, conseillère en investissement
Malgré des assises solides, Jasmine a connu des moments difficiles. Elle décrit un moment d’incertitude autour de sa troisième année et comment le soutien d’Edward Jones lui a permis d’aller de l’avant.
« Mes mentors m’ont sauvée. Ils n’avaient pas une grande avance sur moi dans leur propre carrière, donc ils pouvaient comprendre les difficultés que j’ai rencontrées à mes débuts », explique Jasmine. « Ils pouvaient voir la lumière que je ne pouvais pas voir. Mes mentors m’ont offert leur soutien et ont été un radeau de sauvetage au moment où j’en avais le plus besoin. »
Aujourd’hui, Jasmine attribue son succès aux liens qu’elle a tissés dans sa collectivité. « J’ai passé de nombreuses années à réseauter dans ma collectivité et à m’assurer que les gens me considéraient comme une ressource digne de confiance. »
Et elle reste fidèle à l’exemple qui lui a été transmis par ses mentors. « La culture d’Edward Jones consiste à se faire grandir les uns les autres. J’ai l’intention de donner de mon temps comme mes mentors l’ont fait pour moi », déclare Jasmine. « Ce simple appel que je fais à un nouveau conseiller en investissement pourrait lui faire changer d’opinion sur la façon dont il aborde sa période de doute. Si je suis dans la saison de mon plein potentiel, il est normal de partager cette énergie avec quelqu’un. »
Vous êtes intéressé par le poste de conseiller en investissement Edward Jones?
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Cultiver une culture d’appartenance : Morgan Sherdian
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Morgan Sheridan est au service d’Edward Jones depuis son stage à sa sortie de l’université. En tant qu’homme ouvertement homosexuel, il ne se sentait pas adéquatement représenté dans le secteur des services-conseils financiers. Mais chez Edward Jones, il a trouvé une culture inclusive qui l’a encouragé à être lui-même. Aujourd’hui, 14 ans plus tard, il dirige une succursale dans sa ville natale, à Barrie en Ontario, et travaille à aider les membres de la communauté LGBTQ à se sentir reconnus au travail.
« Je me suis joint à Edward Jones tout de suite après l’obtention de mon diplôme universitaire. Je n’étais pas certain de vouloir poursuivre une carrière en finance, mais je me suis vite rendu compte qu’Edward Jones était fait pour moi. Ici, le dévouement est reconnu. Nous sommes libres de bâtir notre propre pratique et nous profitons d’occasions de formation tout au long de notre carrière. Mais ce qui est le plus important pour moi, c’est la culture. »
« En tant qu’homme gai, je me suis toujours senti soutenu et célébré chez Edward Jones. Penny Pennington, associée directrice, a déjà dit quelque chose qui m’a frappé, à savoir que l’objectif d’Edward Jones est de permettre à des gens diversifiés de travailler tout en étant pleinement eux-mêmes. »
« Comme je suis un homme blanc, on ne remarque pas ma diversité par mon apparence. Je pourrais aisément cacher mon homosexualité, mais Edward Jones ne veut pas que je le fasse. L’entreprise tient à ce que je sois pleinement moi-même au travail, ce qui est merveilleux. »
« Dans le secteur de la finance, la communauté LGBTQ est sous-représentée. Or, Edward Jones a mis sur pied un important groupe de ressources d’entreprise pour la communauté LGBTQ et ses alliés (le LGBTQ and Allies Business Resource Group), aux États-Unis et au Canada. Nous nous rencontrons quelques fois par année par Zoom et échangeons sur nos expériences en tant que professionnels au service d’un groupe diversifié de clients. »
« Les membres de la communauté LGBTQ font face à des difficultés particulières sur le marché du travail. D’abord, chaque fois qu’on fait la connaissance de quelqu’un, on doit à nouveau sortir du placard, sans savoir à quelle réaction s’attendre. Par exemple, j’ai une photo de mes jumeaux de trois ans sur mon écran dans mon bureau. Les gens ont tendance à présumer que je suis marié à une femme et cherchent ensuite à s’enquérir de mon épouse. Je dois alors leur expliquer que je suis marié à un homme. Heureusement, dans mon cas, la réaction qui s’ensuit est toujours positive, mais je ne peux m’empêcher de me demander chaque fois comment la situation se déroulera. »
« Le fait de pouvoir compter sur une communauté qui est familière avec cette expérience et de savoir que nous sommes confrontés à certaines des mêmes difficultés me donne le sentiment d’être soutenu et reconnu. »
« Edward Jones a toujours eu une mentalité axée sur l’ouverture et la célébration. Tout le monde au sein de l’entreprise – des autres conseillers financiers aux associés du siège social – est prêt à aider. Ici, nous ne sommes pas des concurrents. Chez Edward Jones, je suis très valorisé pour ce que je fais et respecté pour ce que je suis, ce qui est inestimable. »
Si vous êtes prêt pour une carrière enrichissante en tant que représentant en services financiers, vous pouvez apprendre davantage sur l’occasion ou trouver un bureau près de chez vous pour communiquer avec un recruteur. Connectez-vous avec Morgan sur LinkedIn.
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Avant de se joindre à Edward Jones il y a cinq ans, Ian Stock a travaillé plus de dix ans dans deux grandes banques canadiennes. Mais il était insatisfait. Les pressions de la haute direction le contrariaient, et les missions des deux banques, toujours axées uniquement sur les bénéfices, étaient en contradiction avec ses valeurs personnelles. Quand il a commencé à explorer d’autres avenues, Edward Jones a attiré son attention et il a voulu en savoir plus sur son modèle d’affaires. Sa quête aura marqué le début d’une carrière enrichissante, dans un cabinet où il est traité en partenaire.
“Après ma retraite des Forces armées, je me suis réorienté pour devenir conseiller en placement et j’ai trouvé un emploi dans l’une des grandes banques canadiennes. Avec le temps, j’ai commencé à me rendre compte que la mission et les valeurs de l’institution ne correspondaient pas aux miennes. Mûr pour un changement, je suis passé à l’une des autres banques, où je me suis malheureusement buté à plusieurs des mêmes problèmes : tout semblait toujours revenir aux chiffres. Nos objectifs étaient d’acquérir des actifs toujours plus nombreux et de faire croître les revenus, parfois au détriment des gens que nous étions censés servir. Ça allait à l’encontre de mes principes. J’ai toujours pensé que, si on se soucie véritablement des gens et de leurs intérêts, tout se met naturellement en place. En fin de compte, c’est ce qui m’a attiré chez Edward Jones.
“Quand on vient comme moi du monde militaire, on ne perd jamais de vue la concurrence, l’adversaire auquel on devra se mesurer. Les échanges que j’ai eus avec l’équipe d’acquisition de talents d’Edward Jones pour en savoir plus ont été révélateurs pour moi. À l’époque, ma pratique reposait surtout sur des services tarifés. Ça a beaucoup fait pencher la balance quand j’ai appris qu’Edward Jones offrait cette option via ses plateformes de placement. Ce n’est pas pour tout le monde, mais c’est quelque chose qui fonctionne particulièrement bien pour le type de clients que je sers.
“L’autre chose qui m’a attiré, c’est l’idée de l’entrepreneuriat. Chez Edward Jones, j’ai mon propre bureau dans ma ville natale, Belleville, et je mène ma pratique comme je l’entends. Dès le départ, le siège social d’Edward Jones a été partie prenante de ma transition vers le cabinet, m’accompagnant à chaque étape. C’était très différent de ce que j’avais observé dans les grandes banques, où les conseillers semblaient toujours subir des pressions d’en haut. Ce qu’il y a de distinctif chez Edward Jones, c’est que le siège social travaille à nous soutenir dans les succursales, pour nous faciliter la vie, à nous et à nos clients.
“Quand on travaille dans le domaine des placements, surtout du côté du courtage, c’est qu’on a l’âme d’un entrepreneur. Chez Edward Jones, je suis traité en partenaire, pas comme un simple employé. Aujourd’hui, personne n’exerce de pressions sur moi. Personne ne me pousse à faire la promotion d’un produit en particulier, parce qu’Edward Jones n’a pas de produits exclusifs. Nous consacrons plutôt notre temps et notre énergie à élaborer la stratégie globale à long terme la mieux adaptée à chaque client. Bénéficier d’un tel environnement de travail, c’est formidable. Ce n’est pas monnaie courante et je ne le tiens pas pour acquis. Mais par-dessus tout, j’ai un sentiment d’appartenance que je n’avais jamais eu dans ma carrière. Je sais que je travaille plus fort qu’avant, mais je n’ai pas l’impression de travailler. Et je vais vous faire une confidence : il m’arrive même de passer l’aspirateur dans mon bureau.
“Depuis mon arrivée chez Edward Jones, ma pratique a connu une croissance exponentielle. Je n’ai jamais eu autant d’actifs, mais surtout, je suis heureux, parce que mon travail produit des résultats significatifs pour mes clients et que je noue des relations riches et durables. En changeant d’employeur, j’ai trouvé un sens à mon travail qui m’habite au quotidien. C’est quelque chose que les clients ressentent, je pense. C’est difficile à mettre en mots, mais je sais foncièrement, aujourd’hui, pourquoi je fais ce travail. Je ne suis pas là pour stimuler les ventes en automate de 9 à 5, mais pour faire, véritablement, ce qui servira au mieux mes clients.”
Si vous êtes prêt pour une carrière enrichissante en tant que représentant en services financiers, vous pouvez apprendre davantage sur l’occasion ou trouver un bureau près de chez vous pour communiquer avec un recruteur. Connectez-vous avec Ian sur LinkedIn.
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Rentrer au bercail : le retour de Blaine chez Edward Jones
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« Edward Jones était le seul cabinet de services financiers que je connaissais qui se souciait véritablement des gens, comme le veut l’une de ses valeurs fondamentales, et je souhaitais retourner travailler dans un milieu qui cultive et valorise les relations humaines. » – Blaine Johnston
Blaine Johnston a commencé sa carrière chez Edward Jones et, après avoir travaillé quelques années dans d’autres sociétés de services financiers, est rentré au bercail. Pourquoi? Parce qu’au fil de décennies de changements sur les marchés, Edward Jones est demeuré fidèle à ses valeurs fondamentales de service à la clientèle et de reconnaissance des employés. Voici son histoire…
J’ai entamé ma carrière dans les services financiers chez Edward Jones alors que j’étais dans la vingtaine. Tout avait bien commencé pour moi dans ce cabinet, mais la vie m’a conduit à quitter la collectivité où j’habitais pour prendre un nouveau départ.
Je suis parti en bons termes avec mes supérieurs; mon responsable régional m’a même recommandé à un poste lié aux services de gros dans un autre cabinet. J’ai finalement abouti dans une société d’investissement privé à Kamloops, en Colombie-Britannique, où j’ai passé les 13 années suivantes à bâtir des portefeuilles pour des clients fortunés.
En 2018, je suis revenu chez Edward Jones. J’étais devenu insatisfait du service que j’offrais chez mon autre employeur; je ne réussissais pas à consacrer à chaque client le temps qu’il méritait. Je me suis alors rendu compte que la relation client-conseiller s’était détériorée partout dans notre secteur. Mon volume d’affaires était immense et en croissance, mais j’avais très peu de soutien administratif. Il devenait impossible d’offrir un service convenable, et très stressant de composer avec la charge de travail. J’avais envie d’un cadre où je pourrais être plus efficace pour mes clients tout en étant rémunéré équitablement pour tout mon travail. Je souhaitais retourner travailler dans un milieu qui cultive et valorise les relations humaines.
Je savais que c’était la philosophie d’Edward Jones, mais par curiosité, j’ai passé des entrevues dans plusieurs sociétés pour connaître leurs programmes de transition. J’ai vite constaté que l’offre d’Edward Jones était inégalée. J’ai parlé à ma femme, grande voyageuse, de la possibilité que j’aurais de recevoir une prime du programme de récompenses en voyages, et nous avons convenu qu’Edward Jones était la seule option possible. Ce programme propose vraiment des voyages qu’on ne fait qu’une fois dans sa vie, et les conseillers d’Edward Jones ont la possibilité d’en faire un chaque année.
À mon retour au cabinet, on m’a assigné un spécialiste de la transition et un administrateur de succursale chevronné. Comme je ne connaissais pas les systèmes, l’aide d’un administrateur de succursale m’a été très précieuse. J’ai ainsi pu me concentrer sur mes clients plutôt que sur l’apprentissage de nouvelles technologies, et j’en suis reconnaissant. Je profite maintenant du soutien de deux administrateurs de succursale, et nous servons ensemble plus de 200 ménages, dont 40 % sont d’anciens clients de mon employeur précédent.
Edward Jones est le secret le mieux gardé de notre secteur; je craignais donc que mes anciens clients hésitent à me suivre ici. J’avais tort. La confiance qu’ils m’accordent et les outils et recherches d’Edward Jones ont rendu leur décision facile. Ceux qui ont fait le saut s’en félicitent!
Notre secteur est en constante évolution. Edward Jones s’adapte à toutes les conditions du marché, mais ne déroge jamais à un principe fondamental : se soucier des gens, qu’il s’agisse de clients ou d’associés. C’est, selon moi, ce qui distingue Edward Jones de tous les autres.
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Soutien et durabilité en tant que représentant en services financiers : Jake Wang
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Après six ans au sein d’une banque, Jake a décidé de se joindre à Edward Jones. Ce qui l’a le plus attiré, c’est le soutien illimité et la formation adaptée à toutes les étapes de la carrière, ainsi que la souplesse voulue pour bâtir sa propre entreprise.
« Après avoir travaillé pour une des cinq grandes banques canadiennes pendant six ans, je savais que j’avais besoin d’un changement. Je suis venu chez Edward Jones, car l’entreprise offrait la meilleure formation pour ceux qui veulent bâtir une pratique de services financiers à partir de rien. J’ai constaté qu’aucune des équipes de placement des banques n’avait le temps ou la patience de le faire. Edward Jones m’a offert des occasions de formation continue aux différents échelons de gestion de ma pratique. J’accorde beaucoup d’importance à la formation continue, car notre secteur d’activité évolue constamment.
« L’autre raison pour laquelle je me suis joint à Edward Jones résidait dans la souplesse voulue pour bâtir ma propre pratique. Au départ, je savais que je devais rapidement être rentable et le demeurer. Vous êtes responsable du succès de votre propre bureau. Il existe de nombreuses façons de bâtir votre pratique. Edward Jones vous facilite la tâche : vous avez la latitude requise de même que le soutien et l’encadrement de nombreux professionnels et ressources du siège social.
« La structure d’associés unique me plaisait également beaucoup. Les collègues de ma région et de l’entreprise m’ont vraiment soutenu. Nous nous entraidons sincèrement et souhaitons que tout le monde réussisse, afin que l’ensemble des associés profitent du succès collectif. Je suis tellement reconnaissant de l’aide que d’autres m’ont apportée lorsque j’ai commencé à travailler. Aujourd’hui, je fais de mon mieux pour redonner en aidant les représentants en services financiers débutants.
« Cette souplesse et ce soutien ne s’arrêtent pas là. J’ai ouvert une succursale située à 10 minutes de chez moi et de l’école de mes enfants. Un administrateur de succursale payé par l’entreprise et les outils et une technologie de pointe m’aident beaucoup à me concentrer sur le service aux clients et la croissance de ma pratique.
« Je suis heureux de dire que je suis maintenant associé commanditaire de l’entreprise. Edward Jones a changé ma vie. J’aime travailler avec mes clients chaque jour et les aider à atteindre leurs objectifs. Il s’agit d’un travail valorisant. »
Si vous êtes prêt pour une carrière enrichissante en tant que représentant en services financiers, vous pouvez apprendre davantage sur l’occasion ou trouver un bureau près de chez vous pour communiquer avec un recruteur. Connectez-vous avec Jake sur LinkedIn.
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Équilibre entre liberté et rémunération garantie
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Il n’est pas surprenant que la rémunération soit un facteur important lorsque les représentants en services financiers envisagent de changer de société. Dans le cadre de l’étude d’AdvisorHub sur la culture des sociétés de courtage, effectuée en partenariat avec Edward Jones, les représentants en services financiers ont dit que la rémunération était la principale raison pour laquelle ils envisageaient de quitter la société où ils travaillent actuellement. Même si le fait de devenir un travailleur indépendant est tentant pour les représentants en services financiers qui cherchent à combler un besoin de changement, cela peut amener une incertitude considérable en ce qui concerne la rémunération.
Dans un contexte concurrentiel, les récentes améliorations apportées à la structure de rémunération d’Edward Jones donnent aux représentants en services financiers chevronnés une bonne raison d’exercer leurs activités chez Edward Jones. Qu’est-ce qui distingue Edward Jones? Les régimes de rémunération d’Edward Jones sont conçus pour permettre aux représentants en services financiers chevronnés de réussir, d’être évalués individuellement et d’obtenir un salaire concurrentiel en fonction des actifs qu’ils apportent à la société.
Les représentants en services financiers chevronnés qui font la transition peuvent prendre en charge leur réussite dès le premier jour et éviter le risque lié à la rémunération associé aux pratiques indépendantes. C’est le meilleur des deux mondes. Ils bénéficient du soutien d’un siège social tout en ayant l’autonomie pour accroître leurs activités indépendamment des objectifs de vente de la société. Les représentants en services financiers chez Edward Jones gèrent leur propre pratique, établissent leurs propres objectifs et collaborent avec les clients pour atteindre leurs objectifs financiers et personnels, et leur rémunération reflète la réussite de leurs efforts.
Le programme de rémunération d’Edward Jones ne prévoit pas de prêt. Aucun paiement initial ou à la fin d’une période n’exige l’atteinte de certains niveaux de production. Il n’y a aucune récupération et les représentants en services financiers ne sont pas liés par contrat à la société à long terme.
En tant que société d’intérêt privé, Edward Jones adhère depuis longtemps à une philosophie qui prône la transparence en matière de rémunération, moins complexe et qui comporte moins de modifications comparativement au secteur, et qui aide les représentants en services financiers à réaliser leur potentiel unique. D’abord et avant tout, la rémunération est proportionnelle à l’expérience et à la maturité de la pratique des représentants en services financiers. Les nouvelles caractéristiques du régime sont conçues pour optimiser les occasions financières et sont personnalisées pour soutenir la pratique unique d’une personne. Voici quelques-unes des principales caractéristiques :
Salaire sur 12 mois : La société versera un salaire pour les 12 premiers mois en fonction de la transférabilité des actifs antérieurs du représentant en services financiers. Toutes les commissions et tous les frais s’additionnent, ce qui réduit l’écart entre le revenu de l’année précédente et les commissions gagnées durant la transition.
Rémunération pour les nouveaux actifs : Edward Jones rémunérera les représentants en services financiers pendant les années 1 à 6 pour les nouveaux actifs transférés à la société au cours des 12 premiers mois.
Prime de rémunération : Les représentants en services financiers sont admissibles à des primes de rentabilité à compter de leur deuxième année, qui sont versées sur une base trimestrielle.
Aucun « prêt » : Le programme de rémunération d’Edward Jones ne prévoit pas de prêt. Aucun paiement initial ou à la fin d’une période n’exige l’atteinte de certains niveaux de production. Il n’y a aucune récupération et les représentants en services financiers ne sont pas liés par contrat à la société à long terme.
Cette approche de rémunération « sans plafond » est la raison pour laquelle certains d’entre eux se joignent à l’équipe et y restent. En fait, depuis 2016, environ 75 % des représentants en services financiers chevronnés qui ont quitté leur société pour se joindre à Edward Jones y sont toujours.
Pour les représentants en services financiers chevronnés qui envisagent une transition, Edward Jones offre un équilibre entre la liberté, la souplesse et un salaire garanti. Les représentants en services financiers chez Edward Jones sont récompensés pour leur travail acharné à court terme et reçoivent le soutien dont ils ont besoin pour utiliser tout leur potentiel à long terme.
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Kevin travaillait pour une banque canadienne avant de se joindre à Edward Jones, il y a quatre ans. Il se sentait limité dans son développement personnel et professionnel et a commencé à explorer d’autres possibilités. Après avoir discuté avec plusieurs représentants d’Edward Jones dans sa région, l’occasion a commencé à lui sembler un choix idéal. Des années plus tard, il se félicite de sa décision.
« Avant de me joindre à Edward Jones, je travaillais pour une des cinq grandes banques canadiennes au service d’expansion des affaires et mon rôle visait à tisser de nouvelles relations de placement. Après huit ans, j’ai senti l’enthousiasme et la curiosité intellectuelle diminuer et je ne me voyais pas continuer 20 ans. Je n’avais plus de défi et tenais pourtant à poursuivre mon développement personnel.
« J’ai exploré diverses occasions qui me permettraient de m’épanouir et d’exploiter mes qualités de service à la clientèle, notamment parmi les canaux de courtage des banques, les compagnies d’assurance ainsi que les modèles de franchise dans le secteur de la finance. Aucun ne correspondait vraiment à un modèle de relation avec les clients qui m’attirait, les visées de l’entreprise semblant toujours occulter mes besoins et ceux de mes clients potentiels. J’ai toujours voulu travailler pour une société qui apprécierait mes commentaires, tout en souhaitant faire partie d’une grande organisation en mesure d’offrir un aspect social épanouissant de la vie professionnelle, une dimension aussi importante que mes objectifs de carrière.
« Edward Jones m’a approché et, pour être honnête, je ne connaissais pas grand-chose de l’entreprise. Au départ, je n’y ai pas accordé beaucoup d’attention, mais je me suis forcé à rester ouvert d’esprit, car de bonnes choses peuvent provenir de nouvelles expériences.
« Ce n’est qu’après qu’un leader régional m’ait encouragé à analyser l’occasion que j’ai commencé à comprendre qu’il s’agissait exactement de ce que je recherchais. Les représentants en services financiers de la région ont pris le temps de répondre à toutes mes questions et d’expliquer l’occasion Edward Jones afin que je puisse prendre une décision éclairée.
« Après un certain temps, j’ai compris qu’Edward Jones était l’endroit pour moi : un modèle indépendant qui offre également soutien et encadrement. Il m’a fallu un certain temps pour comprendre la façon dont fonctionne l’entreprise, car son modèle ne correspond pas du tout à celui d’une entreprise type. J’ai commencé à voir qu’Edward Jones ne met pas l’accent uniquement sur le profit, mais qu’elle privilégie un partenariat avec vous pour permettre la création d’une pratique de placement axée sur le client à long terme.
« Cela fait presque quatre ans que j’ai commencé, et je sais que j’ai pris la bonne décision. Je me réjouis à l’idée de contribuer encore de nombreuses années au développement de l’entreprise dans le secteur canadien des placements, en offrant des services à un plus grand nombre d’investisseurs. Nous continuons d’embaucher de nouveaux représentants en services financiers et de poursuivre le perfectionnement de ceux en poste dans le cadre de cette occasion de rêve. »
Si vous êtes prêt pour une carrière enrichissante en tant que représentant en services financiers, vous pouvez apprendre davantage sur l’occasion ou trouver un bureau près de chez vous pour communiquer avec un recruteur. Connectez-vous avec Kevin sur LinkedIn.
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Avant de se joindre à Edward Jones, Joshua travaillait pour une grande banque canadienne. En effectuant des recherches sur l’entreprise, il a constaté que de nombreux associés et représentants en services financiers communiquaient le même message : la mise sur pied de votre pratique de services financiers chez Edward Jones est facilitée par le soutien et le partenariat de collègues et experts en la matière du siège social. En rétrospective, la seule chose qu’il regrette est de ne pas avoir fait le saut plus tôt.
« II y a 11 ans, alors que je travaillais pour une grande banque, j’ai rencontré pour la première fois un représentant en services financiers prospère d’Edward Jones et j’ai été intrigué par ce qu’il avait à dire sur le modèle de l’entreprise. J’avais déjà entendu parler du soutien offert aux représentants en services financiers qui se joignent à Edward Jones et, huit ans plus tard, j’entendais toujours le même message.
« J’ai finalement décidé de m’aventurer sur cette voie pour savoir si je pouvais devenir représentant en services financiers pour le compte d’Edward Jones. Les leaders régionaux, les représentants en services financiers et le recruteur que j’ai rencontrés, parmi tant d’autres, m’ont donné la même information : je pouvais bâtir ma pratique avec un modèle d’affaires éprouvé et le soutien dont j’aurais besoin tout au long de ma carrière.
« Avec le recul, j’aimerais avoir saisi l’occasion plus tôt. Edward Jones correspondait à tout ce qu’on m’avait dit, et plus encore.
« Du processus d’entrevue à l’intégration, en passant par la formation, mon parcours à ce jour n’aurait pu être plus gratifiant. Il s’agit de la meilleure décision que j’ai prise de ma vie. La société souhaite votre réussite et vous aidera à la concrétiser. Le reste dépend de vous! »
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Satisfaction professionnelle complète : Kim MacInnis
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Kim était déjà représentante en services financiers autorisée avant de se joindre à Edward Jones. Lisez son histoire pour savoir pourquoi elle s’est jointe à Edward Jones et comment elle y a développé une pratique prospère.
« J’étais représentante en services financiers autorisée au sein d’une autre société. Il est important pour moi de toujours agir dans l’intérêt de mes clients. J’avais l’impression que les représentants subissaient des pressions pour inciter les clients à investir dans certains placements. Des changements importants ont été apportés aux barèmes de commission et la rémunération a commencé à diminuer. J’ai alors envisagé un changement d’emploi et j’évaluais les possibilités.
« Edward Jones n’était pas sur mon écran radar à l’époque, mais un de mes collègues m’a suggéré d’évaluer toutes les options. J’ai reçu quelques communications d’Edward Jones à ce moment-là et j’ai décidé d’approfondir mes recherches. Le responsable de l’acquisition des talents pour les postes de représentants en services financiers est venu à Charlottetown et nous avons organisé un souper.
« Nous avons parlé de plusieurs sujets, dont notre passion pour les chiens. Il s’est avéré que nous avions de nombreuses connaissances en commun. Nous avons eu une longue conversation, dont la moitié au sujet d’Edward Jones. J’ai décidé d’explorer cette occasion parmi d’autres possibilités. À ce moment-là, ma fille soignait une blessure de ski et nous devions souvent nous rendre à Halifax pour des rendez-vous médicaux. Je savais que la période de transition de mon entreprise serait très occupée. Je ne voulais pas prendre de décision avant que ma fille soit guérie. Toutes les autres sociétés me pressaient de prendre une décision, mais Edward Jones a appelé pour prendre des nouvelles de ma fille.
« Une fois mes recherches faites, ma décision était prise : Je me joindrais à Edward Jones. L’entreprise n’a négligé aucun effort et m’a aidé à ouvrir une nouvelle succursale en 2017.
« Il est très important pour moi de faire la bonne chose pour mes clients. Edward Jones parle de l’importance de ses clients. Ici, les représentants en services financiers disposent des meilleurs outils pour évaluer ce qui convient le mieux aux clients, et il n’existe pas de produits exclusifs. On ne subit pas de pression pour que nous recommandions les placements les plus rentables pour l’entreprise.
« Ce qui est unique aussi, c’est d’avoir un administrateur de succursale qui me permet de me consacrer entièrement à mon travail, alors que dans d’autres sociétés de courtage, je devais passer du temps à faire des tâches administratives.
« J’ai un emploi qui me procure une satisfaction que je n’ai jamais eue ailleurs, car les possibilités de progression ne manquent pas. On me propose régulièrement des occasions de perfectionnement et d’aider de nouveaux représentants. Chez Edward Jones, tout le monde compte et vous pouvez grandir autant que vous le voulez. Il n’y a pas de limite et cela est très motivant. J’adore l’encadrement et aider les représentants moins expérimentés, et je peux maintenant le faire. Ce que je fais est réellement important et c’est un sentiment incroyable. »
Si vous êtes prêt pour une carrière enrichissante en tant que représentant en services financiers, vous pouvez apprendre davantage sur l’occasion ou trouver un bureau près de chez vous pour communiquer avec un recruteur. Connectez-vous avec Kim sur LinkedIn.
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Écoutez le témoignage de quelques-unes de nos meilleures représentantes en services financiers vous faire part de leur point de vue sur la façon dont Edward Jones les a soutenues et guidées dans l’établissement de leurs cabinets de conseils financiers. Voyez pourquoi Edward Jones pourrait être un milieu de travail propice pour atteindre votre plein potentiel.
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