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Des services financiers foncièrement humains : le parcours d’Ian Stock
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Des services financiers foncièrement humains : le parcours d’Ian Stock
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Avant de se joindre à Edward Jones il y a cinq ans, Ian Stock a travaillé plus de dix ans dans deux grandes banques canadiennes. Mais il était insatisfait. Les pressions de la haute direction le contrariaient, et les missions des deux banques, toujours axées uniquement sur les bénéfices, étaient en contradiction avec ses valeurs personnelles. Quand il a commencé à explorer d’autres avenues, Edward Jones a attiré son attention et il a voulu en savoir plus sur son modèle d’affaires. Sa quête aura marqué le début d’une carrière enrichissante, dans un cabinet où il est traité en partenaire.
“Après ma retraite des Forces armées, je me suis réorienté pour devenir conseiller en placement et j’ai trouvé un emploi dans l’une des grandes banques canadiennes. Avec le temps, j’ai commencé à me rendre compte que la mission et les valeurs de l’institution ne correspondaient pas aux miennes. Mûr pour un changement, je suis passé à l’une des autres banques, où je me suis malheureusement buté à plusieurs des mêmes problèmes : tout semblait toujours revenir aux chiffres. Nos objectifs étaient d’acquérir des actifs toujours plus nombreux et de faire croître les revenus, parfois au détriment des gens que nous étions censés servir. Ça allait à l’encontre de mes principes. J’ai toujours pensé que, si on se soucie véritablement des gens et de leurs intérêts, tout se met naturellement en place. En fin de compte, c’est ce qui m’a attiré chez Edward Jones.
“Quand on vient comme moi du monde militaire, on ne perd jamais de vue la concurrence, l’adversaire auquel on devra se mesurer. Les échanges que j’ai eus avec l’équipe d’acquisition de talents d’Edward Jones pour en savoir plus ont été révélateurs pour moi. À l’époque, ma pratique reposait surtout sur des services tarifés. Ça a beaucoup fait pencher la balance quand j’ai appris qu’Edward Jones offrait cette option via ses plateformes de placement. Ce n’est pas pour tout le monde, mais c’est quelque chose qui fonctionne particulièrement bien pour le type de clients que je sers.
“L’autre chose qui m’a attiré, c’est l’idée de l’entrepreneuriat. Chez Edward Jones, j’ai mon propre bureau dans ma ville natale, Belleville, et je mène ma pratique comme je l’entends. Dès le départ, le siège social d’Edward Jones a été partie prenante de ma transition vers le cabinet, m’accompagnant à chaque étape. C’était très différent de ce que j’avais observé dans les grandes banques, où les conseillers semblaient toujours subir des pressions d’en haut. Ce qu’il y a de distinctif chez Edward Jones, c’est que le siège social travaille à nous soutenir dans les succursales, pour nous faciliter la vie, à nous et à nos clients.
“Quand on travaille dans le domaine des placements, surtout du côté du courtage, c’est qu’on a l’âme d’un entrepreneur. Chez Edward Jones, je suis traité en partenaire, pas comme un simple employé. Aujourd’hui, personne n’exerce de pressions sur moi. Personne ne me pousse à faire la promotion d’un produit en particulier, parce qu’Edward Jones n’a pas de produits exclusifs. Nous consacrons plutôt notre temps et notre énergie à élaborer la stratégie globale à long terme la mieux adaptée à chaque client. Bénéficier d’un tel environnement de travail, c’est formidable. Ce n’est pas monnaie courante et je ne le tiens pas pour acquis. Mais par-dessus tout, j’ai un sentiment d’appartenance que je n’avais jamais eu dans ma carrière. Je sais que je travaille plus fort qu’avant, mais je n’ai pas l’impression de travailler. Et je vais vous faire une confidence : il m’arrive même de passer l’aspirateur dans mon bureau.
“Depuis mon arrivée chez Edward Jones, ma pratique a connu une croissance exponentielle. Je n’ai jamais eu autant d’actifs, mais surtout, je suis heureux, parce que mon travail produit des résultats significatifs pour mes clients et que je noue des relations riches et durables. En changeant d’employeur, j’ai trouvé un sens à mon travail qui m’habite au quotidien. C’est quelque chose que les clients ressentent, je pense. C’est difficile à mettre en mots, mais je sais foncièrement, aujourd’hui, pourquoi je fais ce travail. Je ne suis pas là pour stimuler les ventes en automate de 9 à 5, mais pour faire, véritablement, ce qui servira au mieux mes clients.”
Si vous êtes prêt pour une carrière enrichissante en tant que représentant en services financiers, vous pouvez apprendre davantage sur l’occasion ou trouver un bureau près de chez vous pour communiquer avec un recruteur. Connectez-vous avec Ian sur LinkedIn.
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